Aphorismes de Monseigneur Jean
Monseigneur Jean, sans qui je ne serai pas devenue orthodoxe et encore moins iconographe.
C'est lui qui a formé Hélène Iankoff, qui a elle-même formé Jérôme Lescure dans l'atelier Saint Luc, boulevard Arago à Paris. Jérôme Lescure m'a, à son tour, transmis ce qu'il avait reçu d'Hélène.
Pour connaître la vie de Monseigneur Jean: http://www.eugraph-kovalevsky.fr/
« La véritable image est transparente. Elle invite l’esprit, dans sa beauté pudique, à pousser plus loin. Elle s’efface pour nous entrainer vers l’inimaginable ».
« Avant tout autre chose, contemplons la lumière incréée. Non la lumière qui éclaire un objet, mais celle qui est propre à l’objet et se cache dans son abîme ».
« Dégage les lignes et les limites qui sont les enfants de la lumière et tu trouveras le langage de la nature muette. »
« Tout n’est que la danse rythmée de la lumière et le chant mélodieux des couleurs. »
« Il y a un rythme de la lumière, rythme des limites, rythme des formes ; le rythme est céleste. »
« La flamme est le rythme de la lumière. Chaque chose a une flamme intérieure qui dirige son rythme propre. »
« Dieu se tait dans la souffrance du monde pour ressusciter dans le chant d’allégresse. »
« La vraie expression chante, sans se reposer. C’est une forme qui se couvre, de crainte d’être brûlée par le feu incréé de la divine charité. »